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Divertissement

L’amour est dans le pré : Steven est allé trop vite, Jean-Baptiste a préféré rompre

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Steven

Le monde de « L’amour est dans le pré » est souvent le théâtre d’histoires d’amour naissantes, mais aussi de déceptions. L’édition 2025 de l’émission de dating rural n’a pas fait exception, notamment avec le parcours de Jean-Baptiste, éleveur bovin, et son prétendant Steven. Si l’aventure avait débuté sous de bons auspices, la dynamique de leur relation a rapidement pris un tournant inattendu, menant à une rupture lors du bilan. Le cœur de l’agriculteur n’a pas pu suivre le rythme effréné des sentiments de Steven, préférant mettre un terme à cette idylle naissante.

Un début prometteur : la connexion inattendue

Dès les premiers échanges, une alchimie semblait opérer entre Jean-Baptiste et Steven. Lors des speed-datings, Steven, un graphiste lyonnais, a su capter l’attention de l’agriculteur. Leur histoire est même parsemée d’une anecdote touchante : ils s’étaient déjà croisés sur des applications de rencontres par le passé, sans jamais concrétiser, un détail qui a donné à leur nouvelle rencontre une saveur de destin. Jean-Baptiste a avoué avoir eu un « coup de cœur » pour Steven, dont les yeux bleus et l’accent chantant ne le laissaient pas indifférent.

Un moment clé de leur rapprochement fut la soirée karaoké organisée chez Jean-Baptiste, en présence de ses deux prétendants, Steven et David. Steven y a pris le micro et s’est dévoilé, un acte qui a particulièrement touché Jean-Baptiste et lui a fait gagner de nombreux points. Jean-Baptiste a confié à Karine Le Marchand que ce moment « n’était pas anodin » et « évidemment que c’était touchant ». Cette soirée a confirmé le choix de Jean-Baptiste pour Steven, au détriment de David, qui a d’ailleurs fondu en larmes, déçu de ne pas avoir été choisi.

L’accélération des sentiments de Steven et les doutes de Jean-Baptiste

Après le départ des caméras, la relation entre Jean-Baptiste et Steven a continué, et Steven est revenu séjourner chez l’agriculteur. Cependant, ce séjour, qui devait durer près de douze jours, s’est avéré être un point de friction. Jean-Baptiste a admis que la durée était « peut-être trop longue » et qu’il n’avait « pas osé lui dire ». C’est à ce moment que les doutes ont commencé à s’installer chez l’agriculteur. Steven, de son côté, s’est montré « très vite dans beaucoup d’amour », une intensité qui a « fait un peu peur » à Jean-Baptiste.

Cette différence de rythme et d’expression des sentiments a mis en lumière une divergence fondamentale entre les deux hommes. Jean-Baptiste a expliqué qu’il avait des « doutes sur [leur] compatibilité » et qu’il avait besoin de plus de temps pour que les sentiments se développent. Il a souligné qu’il pensait que « les sentiments naissaient rapidement alors que moi c’est la confiance qui fait naître les sentiments ». Steven, en allant « très vite », a déstabilisé Jean-Baptiste qui ressentait le besoin de lui dire « doucement ».

La difficile décision de la rupture

Face à cette incompatibilité de rythme émotionnel, Jean-Baptiste a pris la décision de rompre avec Steven. Pour l’agriculteur, la rapidité avec laquelle Steven a projeté ses sentiments n’a pas permis l’éclosion d’une véritable histoire d’amour basée sur la confiance et le temps nécessaire à sa construction. Il est apparu clairement que malgré l’attirance initiale et les moments partagés, la précipitation de Steven a empêché la relation de s’épanouir sur des bases solides et mutuellement acceptables.

Cette situation illustre les défis que peuvent rencontrer les participants de « L’amour est dans le pré » : la conciliation entre l’intensité d’une rencontre télévisuelle et la réalité d’une vie à deux, où chacun a ses propres attentes et son propre rythme dans la construction d’une relation amoureuse. Pour Jean-Baptiste, il était essentiel de respecter son besoin de lenteur et de profondeur pour laisser place à l’amour véritable, une condition que le « trop-plein » de Steven n’a malheureusement pas su remplir.

Conclusion

Le parcours de Jean-Baptiste et Steven dans « L’amour est dans le pré » rappelle que la quête de l’amour est un chemin parfois semé d’embûches, où la vitesse des sentiments peut être aussi décisive que leur sincérité. La décision de Jean-Baptiste de mettre un terme à sa relation avec Steven, car ce dernier est allé « trop vite », souligne l’importance du rythme et de la compatibilité émotionnelle dans la construction d’une relation durable. Malgré un début prometteur et une connexion indéniable, leurs chemins se sont séparés, Jean-Baptiste cherchant une relation où la confiance et le temps sont les piliers fondamentaux de l’éclosion des sentiments.

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