Connect with us
Divertissement

« Je mets beaucoup d’eau dans mon vin » : Mélanie Dedigama séparée du père de sa fille

Published

on

dans

L’ancienne candidate de télé-réalité Mélanie Dedigama, connue pour ses participations à des émissions phares, s’est récemment livrée sur un aspect très personnel de sa vie : sa relation avec Vincent, le père de sa fille Nala, suite à leur séparation. Avec une franchise notable, elle a partagé les coulisses de leur coparentalité, n’hésitant pas à utiliser l’expression révélatrice : « Je mets beaucoup d’eau dans mon vin ». Ces confidences offrent un aperçu de la manière dont le couple a choisi de gérer sa séparation pour le bien-être de leur enfant.

Une Nouvelle Vie Loin de la Télé-Réalité

À 35 ans, Mélanie Dedigama a opéré un virage significatif dans sa carrière. Après avoir marqué la télé-réalité dans des programmes tels que Les Cinquante ou Les Apprentis Aventuriers, elle a décidé de s’éloigner des projecteurs. Ce choix radical vise à privilégier une vie plus calme, loin de l’agitation médiatique. Elle a décliné de nombreuses propositions d’émissions pour se consacrer pleinement à sa fille Nala et à son rôle d’influenceuse sur les réseaux sociaux.

Cette décision fait suite à des expériences parfois éprouvantes, notamment des tensions rencontrées lors de tournages. Sur Instagram, elle a expliqué que sa présence dans certaines émissions n’était pas toujours un choix personnel. Si cette reconversion lui apporte une nouvelle sérénité, elle n’est pas pour autant à l’abri des critiques. Récemment, une vidéo TikTok la montrant avec Manon Tanti, avec des nounous en arrière-plan, a suscité un débat sur la présence de personnel pour s’occuper des enfants. Mélanie Dedigama a riposté fermement, défendant son droit à s’organiser en tant que mère célibataire et active, tout en précisant les conditions de travail avantageuses de son employée.

Les Confidences de Mélanie Dedigama sur sa Relation avec Vincent

Au-delà de sa carrière et des polémiques, Mélanie Dedigama a choisi d’aborder ouvertement sa relation avec Vincent, le père de sa fille. Elle décrit une dynamique de coparentalité qui, bien que parfois complexe, est gérée avec maturité. « Ça se passe très bien avec Vincent, on a des périodes où on s’entend vraiment super bien, des périodes où on est plus en désaccord, des périodes où moi j’ai certaines choses qui me dérangent… », a-t-elle confié.

L’influenceuse insiste sur la discrétion qu’ils maintiennent autour de leurs désaccords. Pour protéger Nala, ils s’efforcent de ne pas étaler leurs différends sur les réseaux sociaux. Elle reconnaît des personnalités très différentes : « Lui, il est très introverti et moi j’ai besoin de communiquer et de dire tout ce que je pense. Lui, il est aux antipodes de tout ça. » Malgré ces oppositions de caractère, leur priorité reste l’éducation et le bien-être de leur fille. « Même si on n’est pas en accord, devant notre enfant on est d’accord », a-t-elle affirmé.

Pour illustrer la solidité de leur lien, elle a même utilisé une comparaison forte : « Si demain il devait tuer quelqu’un et qu’il fallait enterrer le cadavre, je serais la première personne qu’il appellerait. » Cette métaphore souligne une confiance profonde et un soutien mutuel, même après la rupture. Mélanie Dedigama se réjouit que leurs disputes soient rares. Elle a toutefois admis faire des efforts considérables pour maintenir cette entente, déclarant : « Après, je vous avoue que je mets beaucoup beaucoup d’eau dans mon vin pour que cette relation soit un long fleuve tranquille. » Cette expression imagée met en lumière sa capacité à faire des concessions pour préserver l’harmonie. Elle exprime une satisfaction générale quant à l’équilibre trouvé, soulignant qu’elle sera toujours là pour lui « quoi qu’il arrive ».

Conclusion

Les récentes déclarations de Mélanie Dedigama offrent une perspective nuancée sur la coparentalité après une séparation. Elles démontrent qu’il est possible de bâtir une relation respectueuse et fonctionnelle, même avec des tempéraments opposés, à condition d’une volonté commune de faire des compromis, symbolisée par l’acte de « mettre beaucoup d’eau dans son vin ». Cet équilibre, qu’elle s’efforce de maintenir avec Vincent, est clairement orienté vers le bien-être et l’épanouissement de leur fille, Nala, loin des drames souvent associés à la sphère médiatique. Son témoignage met en lumière l’importance de la communication et du respect mutuel dans la construction d’une coparentalité saine et apaisée.

Trending